Une idée 2IRES
Mohamed El hacen – Nous nous permettons une première précision : l’institut 2ires n’a pas suspendu ses interventions concernant les catastrophes naturelles dans notre cher pays!
Le cas de la ville joyau NBEIKA
J’ai redouté depuis longtemps, que ce était arrivé à la ville de Tintane advienne, un jour, à cette belle ville N’BEIKA, ce beau site touristique dont la population est des plus généreuses et des plus hospitalières.
Je ne pouvais pas le dire tout haut, par respect à des populations attachées à leurs habitations!
La paresse intellectuelle des hommes était, à mes yeux, un autre handicap dissuasif, et qui n’est pas des moindres.
Aujourd’hui, à cause de ce que nous y vivons et de ce que nous y voyons, pourrait-on me pardonner de dire publiquement mes convictions et propositions, jusque-là secrètes ?
Construire des maisons sur les montagnes qui encerclent cette ville, à l’Est, au Nord-est, sur la route de Tijikja, et sur les dunes du Nord, sur la route de Moudjeria, serait une solution, à mon humble avis, envisageable.
Elle donnerait de surcroît aux habitants de très belles vues et un air très pur.
Et, Nbeika redeviendrait ce qu’elle était: une Tamourett, un grand Oued, destiné à la culture aux palmiers et aux cultures céréalières.
Dans une phase transitoire, on pourrait encourager un lotissement dans ces zones non inondables pour qu’y soient construites des résidences-refuges et secondaires fréquentables en périodes d’hivernage et d’inondations.
Certes, il faudrait des moyens et un apport conséquent de l’Etat; cela ne devrait-il pas inciter à la rigueur dans la gestion des moyens et fonds publics, afin de pouvoir constituer des provisions et des réserves financières salutaires en de pareilles circonstances et imprévus?
Mohamed Ould Mohamed El Hacen
Institut 2Ires