Démentellement d’un réseau international de passeurs de voitures en contrebande en Mauritanie

La police espagnole a arrêté un ressortissant sénégalais qui travaille pour un réseau international de contrebandiers passeurs de voitures neuves en Mauritanie. Selon les médias, l’arrestation de certains éléments du réseau, résulte d’une coordination entre la police espagnole et Interpol.

Les sources ont indiqué que le réseau falsifiait des documents, forgeait les plaques d’ immatriculation et volait les voitures. Au cours de la période écoulée, le réseau a réussi à impliquer des Africains qui ont submergé de voitures volées, des pays dont la Mauritanie.

Pour camoufler ses activités,le réseau a fait recours , aux Africains,dont la mission est de faire passer des voitures en contrebande au Maroc et en Mauritanie,avec des cartes grises et des plaques contrefaits.

Chose considérée , par les services concernés de changement dans les méthodes de contrebande et de falsification.

Le réseau comprend des Sénégalais et des personnes de différentes nationalités. Surtout de l’Espagne et de l’Europe de l’est.

Les enquêtes ont montré que l’Espagne reste le fief de beaucoup de personnes recherchées,dans les domaines de la contrefaçon et de la contrebande, en raison de la mauvaise surveillance et de la rareté des points de contrôle sur son territoire.

INTERPOL surveillait le réseau avant qu’un Sénégalais ne tombe dans une embuscade policière, dans la ville espagnole de Tarifa. Ce qui a, rapidement permis de démanteler le réseau et saisir des documents contrefaits et volés,

Il importe de noter que la détection de certaines voitures volées, s’est faite à travers un système moderne, fourni par les constructeurs automobiles allemands ,qui désactive le moteur de la voiture par voie satellitaire.

Des voitures volées ont récemment été saisies par ce procédé ,en Europe. Notamment ,dans la capitale belge, Bruxelles, la France, le Portugal, le Luxembourg, Madrid et Stockholm, en Suède,

Ce sont ces voitures qui étaient en voie de passer clandestinement au Maroc, puis en Mauritanie, puis dans d’autres pays d’Afrique de l’Ouest.

Source :https://www.anbaa.info/?p=50889 

Traduit par Adrar.info

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