Dissensions au sein de l’Association des retraités de la BCM

Selon des sources bien informées le torchon brûle entre les membres du bureau des retraités de la Banque Centrale. Le Secrétaire Général, LEHBIB O BRAHIM, proclame quant à lui, haut et fort, et à qui veut l’entendre, que le Président de l’association est un nullard.

Un vrai nullard qui ne sait même pas lire les textes réglementaires. Selon ces textes réglementaires il n’est qu’un Président à titre honorifique, alors que la gestion revient au Secrétaire Général.

D’ailleurs, contrairement au Secrétaire Général, qui lui, possède un agrément en bonne et due forme du Ministère de l’intérieur, le Président de l’Association quant à lui n’est pas agrée par les autorités compétences. Il agit dans l’illégalité, et toutes ses décisions ne sont pas valables pour ne pas dire nulles et non avenues.

A l’origine du divorce entre les deux hommes (le Président et le Secrétaire Général), ce sont, semble – t –il, la réhabilitation et les réfections actuelles de la Banque Centrale

Selon toujours le Secrétaire Général et au nom du droit à la liberté d’expression, la Banque qui ne manque pas de place aurait pu construire dans la cour de l’ex hôtel des députés, qui lui appartient, un véritable joyau architectural, flambant neuf, à un moindre coût en s’épargnant toutes ces dépenses, ainsi que le temps perdu pour le travail, et laisser l’ancien Bâtiment tel qu’il est.

Toujours selon l’avis du Secrétaire Général, ils n’ont pas réfléchi, dit-il. Ils auraient pu éviter tout ce gâchis et gagner en efficacité, pour que la Banque centrale reste un exemple de stabilité, au cas où les autres Institutions risquent de péricliter.

En réalité ce qui manque dans certaines de nos Institutions ce sont des contre-pouvoirs, institutionnels autrement dit des gardes fous contre les abus. En effet dit-il, l’octroi à certains responsables d’une grande marge de manœuvre, en l’absence de contre-pouvoirs ne peut qu’encourager l’arbitraire et les abus sans que les résultats ne s’améliorent, pour autant.

Par Lehbib Ould Berdid 

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